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Défenseur.e.s des droits humains

«Un.e défenseur.e des droits humains est quelqu’un qui défend n’importe quel droit fondamental au nom d’une personne ou d’un groupe de personnes. Les défenseur.e.s des droits humains cherchent à promouvoir et protéger les droits civils et politiques ainsi qu’à promouvoir, protéger et mettre en oeuvre les droits économiques, sociaux et culturels.»
UNHCR factsheet 29

Plus d’informations sur les défenseur.e.s des droits humains ci-dessous : 

Portrait - Kate Wangui

Kate Wangui, défenseure des droits humains kenyane, revient sur son parcours et son engagement à l’occasion de sa présence en France en juin 2019, dans le cadre d’une tournée européenne, visant à sensibiliser à la fois le grand public et les décideur.e.s politiques sur les violations des droits humains dans son pays, et en particulier celles subies par les femmes.

Nous tenons à remercier le Comité ICP et l’Institut Catholique de Paris ainsi que nos partenaires Justice & Paix et Pax Christi.

Conférence "LGBTIQ+ en Amérique Centrale : entre répression et résistance" 14/11/2019

Jeudi 14 novembre 2019, PBI France organise une conférence dans le cadre de la venue de la défenseure des droits humains hondurienne Esdra Sosa Sierra.

En compagnie de Sebastien Tuller (Amnesty International France), cette conférence permettra de parler de la discrimination, criminalisation et répression dont sont victimes les personnes LGBTIQ+ au Guatemala, Honduras et Salvador. Les intervenant.e.s parleront aussi de résistance et de la lutte pour atteindre et/ou faire respecter les droits des LGBTIQ+.

Retour en images sur la conférence "Lutter contre les violences de genre :perspectives croisées France-Kenya"

Le 16 juin 2019, lors de la tournée en France de la défenseure des droits kényane Kate Wangui, PBI France organisait une conférence dénommée «Lutter contre les violences de genre : perspectives croisées France-Kenya». 

De Kibera à Paris, témoignage d’une lutte pour les droits des femmes

Du 18 au 21 juin 2019, nous aurons le plaisir de recevoir Catherine Wangui, défenseure des droits humains kenyane. Féministe, ambassadrice pour la paix, mentor pour les filles et les jeunes femmes, elle est également une membre engagée de la boite à outils pour femmes défenseures des droits humains initiée par PBI Kenya.

Journée d'initiation à l'Intervention Civile de Paix le 14/04

PBI France organise une journée d’de formation le dimanche 14 avril 2019 à Montreuil (10h-18h). 

Lieu: Salle Luther King, Mundo M, 47 Avenue Pasteurn 93100 Montreuil

Cette journée est ouverte à toutes les personnes qui veulent en découvrir plus sur la non-violence, la protection des droits humains, la prise de décision au consensus, l’accompagnement international et les programmes-terrain soutenus par PBI France.

Défenseurs assassinés dans la Sierra Tarahumara: une histoire non résolue

Le mois de janvier 2019 a marqué un triste anniversaire : celui des assassinats de deux leaders rarámuri de la Sierra Tarahumara, dans le Nord du Mexique. Isidro Baldenegro López, assassiné le 15 janvier 2017, était défenseur de l’environnement et luttait en particulier contre l’abattage illégal d’arbres dans la commune de Guadalupe y Calvo. Son travail était reconnu de longue date et soutenu par de nombreuses organisations internationales. Il avait notamment reçu le prix Goldman en 2005.

Première tournée d’un défenseur kenyan à Paris !

Pour la première fois, du 22 au 25 mai 2018, PBI France a eu le plaisir d’accueillir un défenseur de la justice sociale kenyan, Francis Sakwa, partenaire de PBI Kenya depuis 2013. Loin de l’insécurité à laquelle il était confronté dans le contexte post-électoral kenyan, il profitait de trois mois de « répit » à Groningue au pays-Bas dans le cadre du programme « Shelter City » (ville refuge) et a fait un détour par Paris.

Justice pour Valentina

Le 1er juin 2018, plus de seize ans après les faits, un tribunal de district a finalement rendu un verdict dans l’affaire Valentina Rosendo Cantú. Les officiers militaires Nemesio Sierra García et Armando Pérez Abarca ont tous les deux étés condamnés à dix-neuf ans de prison pour viol et torture. Depuis 2014, grâce à des cas comme celui-ci, les crimes commis par les militaires contre des civils ne sont plus traités par les tribunaux militaires mais par les tribunaux civils.