Lorena Cabnal, "féministe communautaire"
Portrait de Lorena CABNAL
Portrait de Lorena CABNAL
Kate Wangui, défenseure des droits humains kenyane, revient sur son parcours et son engagement à l’occasion de sa présence en France en juin 2019, dans le cadre d’une tournée européenne, visant à sensibiliser à la fois le grand public et les décideur.e.s politiques sur les violations des droits humains dans son pays, et en particulier celles subies par les femmes.
Nous tenons à remercier le Comité ICP et l’Institut Catholique de Paris ainsi que nos partenaires Justice & Paix et Pax Christi.
Le 16 juin 2019, lors de la tournée en France de la défenseure des droits kényane Kate Wangui, PBI France organisait une conférence dénommée «Lutter contre les violences de genre : perspectives croisées France-Kenya».
Du 18 au 21 juin 2019, nous aurons le plaisir de recevoir Catherine Wangui, défenseure des droits humains kenyane. Féministe, ambassadrice pour la paix, mentor pour les filles et les jeunes femmes, elle est également une membre engagée de la boite à outils pour femmes défenseures des droits humains initiée par PBI Kenya.
Du 18 au 22 juin 2019, PBI France a eu le plaisir de recevoir la défenseure des droits des femmes kényane Kate Wangui.
Mardi 18 juin à 19h PBI France organise une conférence dans le cadre de la venue de la défenseure des droits humains kényane Kate Wangui.
En compagnie d’Ynaée Benaben (co-fondatrice d’En avant toute(s)) et de Fatima Ouassak (Fondatrice du Réseau Classe/Genre/Race), cette conférence permettra de dresser un panorama des violences de genre en France et Kenya mais aussi des solutions pour les combattre.
Conférence suivie d’un temps d’échange avec la salle.
Lieu : La Mutinerie, 176 rue Saint Martin, 75003 Paris.
Le 2 et 3 octobre 2018, PBI France a eu l’immense plaisir de recevoir 3 défenseur.e.s des droits humains : Sandra Alarcón (Mexique), Carlos Fernandez Muñoz (Colombie) et Rosa Santamaria Tabora (Honduras). Les schémas ressortant de leurs interventions sont extrêmement similaires d’un pays à l’autre : implication des multinationales dans les violations des droits humains, déplacements forcés de population, complicité des gouvernements, impunité et corruption généralisées, et criminalisation des défenseur.e.s de droits humains.
Le 1er juin 2018, plus de seize ans après les faits, un tribunal de district a finalement rendu un verdict dans l’affaire Valentina Rosendo Cantú. Les officiers militaires Nemesio Sierra García et Armando Pérez Abarca ont tous les deux étés condamnés à dix-neuf ans de prison pour viol et torture. Depuis 2014, grâce à des cas comme celui-ci, les crimes commis par les militaires contre des civils ne sont plus traités par les tribunaux militaires mais par les tribunaux civils.
Alors que le Guatemala a célébré en 2016 les 20 ans des Accords de Paix, la situation des défenseurs des droits de l’Homme y est encore très préoccupante. En Colombie, les attaques contre les défenseurs ne cessent d’augmenter depuis la résolution des négociations de paix entre le gouvernement et les FARC.
Gladys Lanza était la coordinatrice du Movimiento de Mujeres por la Paz Visitación Padilla, également connu sous le nom de «Las Chonas», une organisation fondée en 1984 et qui milite pour les droits des femmes et contre la violence et les inégalités fondées sur le sexe au Honduras.