Entretien avec Charlotte Ivern, volontaire française au Kenya depuis mai 2015
Pourquoi avoir fait le choix de partir avec PBI ?
Pourquoi avoir fait le choix de partir avec PBI ?
Les difficultés suivantes ont été constatées dans la mise en œuvre de ces mécanismes :
- Le manque de ressources de l’Unité pour les droits humains ne permet pas une gestion adaptée des demandes de protection ;
- Les mesures de protection sont mises en place très lentement, or, pendant ce temps, les défenseuses et défenseurs des droits humains (ci-après DDH) et les journalistes continuent à être soumis à des risques élevés ;
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L’objectif de cette Alerte est d’attirer l’attention de la communauté internationale sur la situation sécuritaire de la journaliste indépendante Dina Meza, accompagnée par les Brigades de Paix Internationales (PBI) depuis mai 2014. PBI est préoccupé par l’augmentation des incidents de sécurité rapportés le mois dernier en raison de son travail de journaliste et de ses activités de femme défenseure des droits humains.
Ce documentaire de 25 minutes suit quatre femmes et hommes qui luttent pour la défense de la terre et du territoire dans le contexte d’investissements européens à grande échelle en Colombie, au Mexique, au Guatemala et au Honduras. Les défenseurs de la terre et du territoire en Amérique latine travaillent dans un contexte très dangereux et risquent quotidiennement leur vie et leur liberté.
L’avocat colombien Jorge Molano est en Europe pour recevoir le prix « Lawyers for lawyers » à Amsterdam, et sera en France du 21 au 24 juin.
A quelques jours de son départ, PBI France s’est entretenu avec Pauline Sfez, future volontaire française de PBI en Colombie.
Comment as-tu connu PBI ?
Le Nord du Mexique est connu pour être particulièrement violent, comment as-tu vécu cette insécurité ?
Omar Jerónimo est membre de la Coordinadora Central Campesina Ch’ortí Nuevo Dia (CCCCND), une organisation accompagnée par PBI depuis 2009.
Lorsque l’on parle de la situation des droits humains au Mexique en 2014, la disparition des 43 étudiants d’Ayotzinapa vient tout de suite en tête, cas emblématique de la violence, de la corruption et de l’impunité endémique qui règne au Mexique.